See, that's how great a host I am;
I even let you choose the color!
Nope, there's nothing here...
Whatever you think you're doing here,
WELCOME!
That's my space, my mind, my shoes,...
Be warned, your insurances don't cover that kind of trauma.
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and I'll tell you what to do!
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You can play!
(but there's only like 3 different games...)
How to rock the metro
That one's still under construction
(so don't look at the mess!)
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That one's still under construction
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Wrong!
Alix rocks
since 1985
-
Épicerie
-
-
Pharmacie
-
Hi, have you ever had a "thing" that needed to be "this big" on a cellphone but only "this big" on a computer, but you realized that no percentage could get it right...?
Well, if that've never happened to you, then come back when you'll know what I mean!
You'll see, that'll happen soon enough!
Now, tell me what size of screens you usually use, or at least on what size screens you know "how big" your "thing" should be. Nowadays, most cellphone are larger than 360px, but I do like to go down to 250px just to be sure everybody will be happy. As for the computer, well mine only goes up to 1400px, so... Anyway, just add your numbers in the little boxes under the screens!
Now, all you have to do is tell me (no, don't just say it out loud, you also have to write it down... yes, in the other little boxes) what size your "thing" is on a cellphone versus on a computer...
Then you can click "calculate" and, because I'm a cool human being, I'll give you the magic formula!
Seriously, I'm so cool, you can even click on another button and it'll be automatically copied in your device so that you can go and paste it wherever you want (well, technically, you should paste it in your code... but hey, you do you!)!
Now, go have fun!
Unit:
Yeah, you know what I mean! Then you're at the right place. 'Cause I got you!
First things first: what unit are you using?
(and just so you know, here you can't use any kind of percentage (%, vw, vh), believe me, that won't work!)
px
px
px
La table est mise
Présentation
À quelques mètres de la table où son corps nu est allongé, je reste debout, immobile. Je prends le temps de savourer les ombres que la lumière dessine sensuellement sur chacune de ses formes. La position indécente dans laquelle son corps est exposé. Son air à la fois soumis et provoquant. La mise en place est si alléchante. Un grondement intérieur me rappelle alors que je n'ai rien mangé depuis bien trop longtemps...
Ses bras, allongés de chaque côté de sa tête, sont attachés par les poignets aux solides pieds de l'autel; les paumes vers le haut, prêtes à recevoir.
Ses yeux sont bandés, mais sa bouche est libre, entrouverte, disponible.
Son menton, pointé vers le ciel, dégage parfaitement son cou où son collier de cuir noir met en évidence l'anneau argenté; une invitation presque insolente.
Le dos arqué et le ventre tendu, seuls les mouvements de sa cage thoracique trahissent sa respiration. Ne sachant toujours pas que je suis là, sa respiration est encore lente et tranquille; le repos avant le festin.
Les cuisses bien appuyées sur la surface ferme, les genoux fléchis par dessus-bord, ses jambes sont écartées et ses chevilles attachées.
Dans cette position, son corps semble en symbiose avec le meuble... La table est mise. Un véritable buffet de saveurs et de sensations, tant pour les yeux que pour bien d'autres choses encore.
Une seule chaise, placée au bout, entre ses jambes écartées. Le repas est servi.
Les limites sont claires, les signes convenus; pour le reste il s'agit d'une véritable offrande, avec abandon et dévotion, entièrement et uniquement pour moi, ici et maintenant.
Alors que je dévore déjà des yeux ce festin qui m'est dédié, les nombreuses possibilités de ce que je pourrais en faire se bousculent dans ma tête. Tant d'idées et d'images qui me mettent l'eau à la bouche et le feu à l'entre-jambe. Des ondes de chaleur et de plaisir se répandent déjà dans mon corps; mes mains se tordent d'anticipation et mes pieds, sans même que je m'en rende compte, commencent à s'approcher de ce somptueux buffet.
Exploration du menu
Une fois près de la table, à la hauteur de ses épaules, je signale ma présence par un simple tambourinement des doigts sur le meuble et aussitôt sa respiration s'arrête.
Une fois la surprise passée, sa respiration reprend tranquillement mais s'intensifie graduellement dans un mélange de peur et de désir, de craintes et d'anticipation.
Le simple fait que je puisse, à tout moment, sans préavis, non seulement toucher sa peau, mais le faire comme bon me semble... Son excitation et son désir augmentent donc sans même que j'ai a faire quoi que ce soit. Jamais "ne rien faire" n'aura été aussi efficace!
Bien que j'aurais pu rester là pendant des heures à simplement savourer son corps du regard, mes autres sens me rappellent la famine de ces derniers temps et m'implorent d'initier un premier contact. Je dépose donc le bout de mes doigts, tout doucement, dans son cou, juste sous l'oreille et commence à descendre langoureusement le long de son cou. Une simple ligne, un contact si léger. Passé le collier, alors que mes doigts continuent nonchalamment vers le centre de sa poitrine, je vois sa cage thoracique se remplir et son souffle être retenu dans un suspense empreint d'espoir. Espoir que ma caresse divergent d'un côté ou de l'autre. Mais mes doigts restent bien au centre et traversent son torse en ligne droite. Alors que mon exode sensuel continu vers son bas ventre, je sens ses muscles se contracter d'anticipation. Puis, d'un élan presque hésitant, son bassin bascule subtilement vers le haut dans une timide prière. Mais une fois encore, je fais fi de ses attentes et bifurque vers une de ses cuisses pour terminer ma douce caresse à son genou. Une simple ligne, un contact si léger et pourtant tant de réactions. À l'envie de profiter de son corps, s'ajoute l'intrigue de la découverte : combien de sons, de contractions et de réactions différentes pourrais-je encore obtenir? Quelles zones de son corps sont les plus sensibles, les plus érogènes et surtout, pourront-elles finalement me rassasier?
De sa bouche maintenant en appétit s'échappent de doux gémissements, une ôde à mon pouvoir. Ses plaintes gourmandes me supplient de continuer tout en sachant pertinemment que seule ma volontée décidera de son sort.
C'est donc en surveillant attentivement ses réactions que je reprends mon exploration lascive de ce décadent festin. Au rythme de mes envies, j'effleure sensuellement sa peau de mes mains, de mes doigts. Me nourrissant de chacune de ses délicieuses réactions. Évidemment, je prends bien soin d'éviter son entre-jambe. Le dessert, c'est pour la fin.
Amuse-gueule
Une fois que toutes les autres parties de son corps, chaque autre mets de cet opulent menu, eurent été observées, entamées et testées, je me recule pour admirer mon œuvre.
Son corps, débordant de sensations, se tord de désir sur la table devant moi. Une vision à la fois extrêmement satisfaisante et douloureusement appétissante.
Sa respiration haletante et la tension sexuelle presque consistante qui émane de son corps, finissent par me faire saliver. Jusqu'à présent, seules mes mains ont pu apprécier sa peau, mais l'idée de pouvoir goûter, lécher, mordiller, savourer sa tendre chair devient vite irrésistible. Alors, sans plus attendre, posant les deux coudes sur la table, je me penche et approche ma bouche d'un de ses mamelons. Sans y toucher, je commence par simplement l'envelopper d'un souffle chaud et perçoit aussitôt le léger frisson qui parcourt son corps. Je donne donc quelques coups de langue et aussitôt le reste de son corps enflammé disparaît complètement de mon esprit. Mon univers ne se résume plus qu'à ce mamelon, qu'à cette bouchée de chair ferme qui roule sur ma langue de façon si exquise. Ce mamelon devient la représentation de son corps entier et ma bouche, celle de tout ce que je voudrais y faire. Mes lèvres l'embrassent, ma langue le masse, mes dents l'agacent. Et alors que ma bouche le dévore tout entier, les concepts se mêlent dans ma tête et les sensations, dans mon corps. Ce n'est qu'au bord de la perte de contrôle que je réussis finalement à m'arrêter. J'abandonne alors mon amuse-gueule avec réluctance et relève finalement la tête.
Alors que je tente de récupérer mes esprits et mon souffle, je m'efforce de reprendre une vue d'ensemble du buffet. La vue de son corps qui se démène encore malgré les contentions. La symphonie de sa respiration laborieuse entrecoupée des tintements métalliques des menottes et des claquements de sa chair sur la table. Les chauds parfums de son extase qui se répandent dans la pièce.
Puis, ses mouvements d'abord insensés se concentrent peu à peu vers son bassin en une danse indécente et implorante qui détourne inévitablement mon attention vers son bas-ventre.
L'ensemble ne tarde pas à m'enivrer à nouveau, mais ma patience et ma force de volonté sont plus grandes encore et je refuse de céder aussi vite à la tentation. Et puis, l'idée même de lui refuser sadiquement ce souhait ne fait qu'augmenter mon propre plaisir. De toutes façons, avant de passer au plat principal, je tiens à tester l'entrée. La bouche, l'ersatz par excellence du fameux dessert au fruit défendu; tout aussi chaude et humide, mais beaucoup plus agile.
Entrée
Je commence alors par approcher mes doigts de sa bouche et dès le premier contact avec ses lèvres, un profond soupir de soulagement parcourt son corps comme si l'attente avait finalement porté fruit. Puis, son corps se fige et, comme si un mouvement brusque aurait pu me faire changer d'idée, sa langue sort tout doucement de sa bouche et lèche mes doigts avec une sensualité à la fois fervente et réservée. Puisque mes doigts restent immobiles, sa tête se soulève tranquillement, et sa bouche se met à les envelopper presque chaleureusement jusqu'à ce que mes ongles frôlent son palais et alors sa langue se met à danser le long de mes doigts, entre, sous et autour, comme si chaque centimètre carré était le plus raffiné des mets et se devait d’être vénéré. Puis sa tête se met à s'éloigner alors que ses joues se creusent par la succion et ses lèvres, bien refermées sur mes doigts, glissent le long de ma peau y laissant un chaud coulis de salive. Arrivée au bout de mes doigts, sa tête reprend son manège à la fois tendrement vénérant et délicieusement pervers. Un soupir de délectation s'échappe de ses lèvres puis les ondulations de sa tête et les acrobaties de sa bouche, ses lèvres et sa langue deviennent de plus en plus explicites et évoquantes.
Bien vite, ses prouesses et ses promesses font migrer ma faim vers mon bas-ventre et mon appétit ne s'en trouve que décuplé. Alors que ses chaudes complaintes m'empressent à lui offrir davantage que mes simples doigts, c'est avec une impatience réluctante que je reprends ma main et cesse ainsi tout contact...
L'absence soudaine de contact capte son attention dans un mélange d'appréhension et d'espoir ne sachant ce que sera la suite, ni même si suite il y aura. Je considère en faire une punition pour son manque de retenue, et laisser son corps se consumer de désirs inassouvis, mais mes propres besoins me crient leur priorité et je me décide à passer au plat de résistance. Alors que je m'efforce de me diriger calmement vers l'unique chaise de ce banquet, j'apaise ses inquiétudes en faisant glisser mes ongles le long de son corps en feu.
Plat principal
Sachant pertinemment qu'une période d'inactivité ne ferait qu'exacerber son impatience, j'en profite pour prendre le temps de simplement admirer la vue. Ses parties intimes, si généreusement offertes et délicieusement exposées. Les contractions de son périné qui font danser son sexe de façon si alléchante et invitante. Tel un aimant, le spectacle m'attire et m'interpelle, m'implorant de succomber à la faim. Malgré la tentation qui me tiraille de plus en plus; mon bas-ventre qui se contracte de désirs et ma bouche qui en salive d'envie, je reste immobile. Je reste immobile et réalise que mon propre sadisme aura créé plus d'une victime. Je reste immobile et contemple nos supplices s'amplifier au rythme de ma douloureuse inaction. Quel délice!
Sa respiration se fait justement de plus en plus haletante, suffoquée par le désir désormais insoutenable. Ses gémissements implorant pitié, me supplient d'un quelconque contact alors que son corps se déchaîne de plus en plus, dans une danse sensuellement aliénée par la perte de contrôle.
Prenant pitié de nous deux, je me décide à entamer quelque chose. Espérant rester en contrôle, je tente de maîtriser mes propres pulsions et m'efforce de commencer en douceur. Posant d'abord mes doigts sur ses genoux, je laisse mes ongles agacer sa peau alors que mes mains remontent langoureusement le long de ses cuisses. Je savoure chaque caresse, mais voyant que son attention est encore éparpillée par l'arrière goût de toutes les sensations précédentes, je m'insulte et enfonce brusquement mes ongles dans ses cuisses. Prises en sursaut, ses ardeurs semblent momentanément se calmer, du moins juste assez pour attirer son attention sur moi et sur ce que je suis en train de lui faire.
Mes mains et mon visage s'approchent donc peu à peu de son sexe et j'inhale avec délice les arômes de ses plaisirs avant d'appuyer doucement mes lèvres sur l'intérieur de sa cuisse, tout près de l'aine.
Sentant l'imminence de l'attention tant désirée, son corps se calme et son esprit se concentre sur mes gestes, craignant probablement un autre arrêt soudain.
Tant pour l'exaspérer davantage que pour me mettre moi-même à l'épreuve, je domine mon appétit et prends soin de déguster et de savourer méticuleusement chaque centimètre carré de l'intérieur de ses cuisses, puis chaque parcelle de son sexe avant même de me concentrer sur les zones les plus sensibles.
Les frissons qui lui parcourent le corps malgré ses efforts de rester sage sont délicieusement adorables, mais bien vite ses réactions deviennent secondaires; mon esprit rapidement obnubilé par toutes les sensations que cette chair me procure. Les textures sous mes lèvres, les arômes et saveurs sur ma langue, la densité sous mes dents. Mon contrôle s'effrite et se dilue dans l'excitation. Désormais incapable de me soucier de son plaisir, je ne peux que me concentrer sur le mien. Mes mains rejoignant finalement ma bouche, je me délecte de son sexe sans plus autre intention précise que d'assouvir ma faim.
Dans une extase possessive, un léger grognement s'échappe de mes lèvres et je réalise alors qu'il n'y a plus une seule bouchée de son être qui ne m'appartienne, qu'entre mes mains et ma bouche je détiens le pouvoir absolu sur son plaisir et le mien.
Soudainement, les cris et gémissements s'arrêtent, sa respiration se suspend et son corps se met à trembler subtilement. Le suspens inattendu me ramène à sa réalité et je prends tout d'un coup conscience de l'imminence de son orgasme. Tant par réflexe, par indignation que par entêtement sadique, je me retire aussitôt d'entre ses jambes. Son orgasme m'appartient. Sans ma permission, il devrait lui être interdit d'y succomber. Seule ma volonté pourra faire basculer son supplice vers la complétion.
Le besoin impérieux de raffermir ma dominance face à son insolence s'ajoute alors à ma faim toujours insatiable et mon instinct bascule du côté animal prenant momentanément contrôle de mon corps.
Dessert
Sans trop savoir comment, je me retrouve à quatre pattes sur la table, chevauchant son corps désaxé, immobilisé à la fois par l'exténuation et l'anticipation, telle la proie déchirée entre la survie et la fascination. Sournoisement, je commence à m'avancer le long de son corps et m'arrête finalement au-dessus de sa tête, un genou de chaque côté. Mon entre-jambes déjà bouillant de désir est finalement positionné juste au-dessus de son visage, presque accessible.
Ayant perçu ma position malgré ses yeux bandés, son corps semble reprendre consistance et sa tête se ressoulève aussitôt. De sa bouche entrouverte et affamée, un gémissement m'implore. Sa langue se met à se lécher langoureusement les lèvres puis à s'élancer vers mon entre-jambes dans l'espoir évident mais vain de pouvoir y goûter. Ses bras, les poings fermés, se mettent alors à tirer sur les menottes avec la force du désespoir. Bien que sa bouche réussisse à s'approcher davantage, je m'assure de rester hors de sa portée. Je m'approche puis m'éloigne, maintenant sa récompense inaccessible. Plus je l'agace, plus l'excitation monte en moi, mais le jeu est risqué.
Lorsque que sa langue manque d'atteindre sa cible, je réalise que son avidité est devenue incontrôlable et m'empresse de lui immobiliser la tête d'une main sur le front. Le contrôle m'appartient et doit rester mien. Mais alors que les gémissements suppliants se muent en grognements revendiquants, et que ses muscles se battent de plus en plus contre les contentions, je sens sa docilité s'effriter et ma dominance être rongée par sa rébellion. Je dois remettre ses esprits à leur place et clarifier qui domine et qui n'est que pitance; qui consomme et qui doit se laisser consommer. Sans prévenir, je lui donne une claque au visage, simple mais efficace. La surprise qui résonne dans la pièce et l'extase de la douleur font taire ses grognements ambitieux et ne laissent que sa respiration haletante. Cependant, loin de renoncer, ses supplications, geignements et lampées reprennent vite, quoique plus humbles et serviles.
Maintenant que j'ai repris le contrôle de la situation, je me permet de savourer ses candides implorations avec une sadique satisfaction. C'est moi qui possède la clé de son plaisir, le contrôle de ses sensations, le pouvoir sur sa satisfaction.
Mais à force de jouer avec sa patience, l'anticipation commence à peser sur moi aussi et l'envie de donner suite à mes promesses se fait de plus en plus impérieuse. Alors, ne désirant plus me retenir davantage, je prends un risque conscient et abaisse minutieusement mon entre-jambes afin de permettre à ses lèvres le plus léger des contacts...
Ce fut l'erreur qui entraîna ma défaite. Permettant à ses lèvres de me toucher, sa langue obtint alors beaucoup plus de liberté que ce que j'avais calculé et cette dernière se déchaîne aussitôt sur mon sexe dans un élan poussé par le désespoir. Insensée et pourtant si efficace, sa langue se met à parcourir mon sexe dans tous les meilleurs sens possibles et une vague de plaisir commence à se répandre dans mon corps jusqu'alors intouché. Des spasmes de jouissance me parcourent le corps; ma sensibilité et mes réactions multipliées par l'anticipation. Mon bassin se met à onduler de lui-même, m'obligeant à prendre le contrôle des mouvements de sa tête. Ses lèvres si chaudes et fluides. Sa langue si forte et agile. La délicieuse pression qui monte en moi devient de plus en plus intense. N'ayant plus la force ni la volonté d'arrêter, je m'abandonne à sa bouche et sa langue qui dégustent si avidement mon sexe.
Alors que je savoure l'euphorie qui se propage à travers mon corps, sa bouche se met à aspirer autour de mon sexe et aussitôt l'onde de choc créée par la suction me transperce le corps d'un seul coup me faisant cambrer le dos et renverser la tête. La tension accumulée s'échappe alors par ma gorge dans un son guttural presqu'animal et mes ongles, tels des griffes, s'agrippent à son flanc dans un urgent besoin de solidité alors que mon univers explose en mille gouttelettes.
Digestif
Dans un évachement postprandial résolu, mon corps, s'étant laissé tomber sur le dos, se retrouve complètement affaissé sur le sien, mes jambes toujours de chaque côté de sa tête et ma tête tout près de son entre-jambes. Plus rien ne bouge mis à part nos cages thoraciques qui tentent laborieusement de réapprendre à respirer alors que le reste de mon corps essaie de se recomposer, de retourner à un état solide et conscient.
Alors que moi je me sens encore flotter sur les vagues de la complétion, la tension qui émane de son corps et un timide gémissement près de mon entre-jambes me rappellent que son corps est encore toujours prisonnier des promesses de l'apéritif.
Je considère l'idée de jouer encore, de prolonger sa torture et ajouter à son supplice, mais l'épuisement de l'orgasme envahi toujours mon corps.
Malgré ses jérémiades, je prends donc le temps de reprendre mes forces, et en profite pour me réjouir, savourer ce sentiment de plénitude et tranquillement digérer.
Ce n'est que lorsque je me sens finalement apte à bouger que je me laisse gauchement rouler sur le côté et m'assoit sur le bord de la table, les jambes pendantes et encore molles.
D'une langueur pleinement repue, je me retourne pour contempler le reste de mon œuvre. Parmis les divers coulis de fluides corporels décorant la surface de la table, les restants de sa chair maintenant entièrement consommée de la torture du déni se contorsionnent désespérément. Ses gémissements inarticulés résonnent péniblement, suffoqués par les tensions saturant son corps ravagé. Les arômes émanant de cet amalgame me rappellent avec délice tous les plaisirs du repas, un sourire satisfait se forme finalement sur mes lèvres.
Je descends alors de la table et, appréciant une dernière fois du regard les restes de mon somptueux festin, je m'essuis les mains et le visage puis quitte la salle; mon appétit finalement rassasié.
Janvier 2021
Une coupe rouge
Elle est là devant moi, dans toute sa splendeur
Et mon cœur qui commence, à battre son ardeur
De mon regard dément, ça pudeur, je dérobe.
Robe de Gitane, d'une couleur vermeille
Gourmand de ses trésors, cachés sous cette robe
Dévoilant ses formes, son corps, d'autres merveilles
D'une féminité, tant sauvage et féline.
Même si c'est risqué, fou de ses goûts suaves
Je ne peux deviner, seul Dieu et elle savent
Cruelle et meurtrière, ou clémente et câline
J'irai auprès d'elle, créature envoûtante
Cet être sensuel; Beauté ensorcelante.
Elle avance vers moi, d'un maintien discordant
Étrangé, à la fois, soumis et dissident.
D'une main de maître, seul, je la fais danser.
Divines vaïnées, ses déesses dansantes
Dans l'éclat du soleil, elle m'y fait penser.
Chevelure abondante, aux odeurs chatoyantes.
Lorsqu'elle s'approche, que nos lèvres se touchent
Que nos yeux se ferment, profitant du moment
Et mon cœur s'arrête, l'espace d'un roman
Douce vague d'amour, qui déferle à ma bouche
Puisqu'elle m'embrasse, sensation enivrante
Cet être sensuel; Beauté ensorcelante.
Dans ma tête allégée, mes pensées s'en envolent
Planent et viennent atterrir, vers cette être frivole
Tout en quittant mes lèvres, elle emporte très loin
Bien plus que mon âme, mes pensées et mon corps
Pour vol ou l'homicide, elle agit sans témoin
D'une âme est dépourvue, ruine et tue sans remords
Du démon possédée, dans ma vie est venue
Celle qui m'a piégé, mais que je remercie
Par un bonheur intense, elle m'a éclaircie
Car avoir continuer, ma vie elle aurait eue
Messieurs, faites attention, dangereuse bacchante
Cet être sensuel; Beauté ensorcelante.
Novembre 2000
Torture
The sky is blue, the sun's shining.
People walking, yet here I am,
Still standing there, on the sidewalk
Facing the door and freaking out!
Yep, here I am, facing my own hell's door, arguing with myself whether or not to go in.
"It's been too long now, you HAVE to do it."
"Nah, it's not that bad, I'm sure I can tough it out for another month or two."
"No way, in a month or two, you'll be too busy to come back. You have to do it now... So let's just suck it up and go in!"
Yet, I stay still, looking diffidently at the door in front of me. That door looks just like every other business door, with the opening hours written on a board and the Interac and PULL stickers near the handle. Nothing scary. Still, I couldn't quite open it. Dread was freezing me.
"I have to!", I repeated to myself.
True, every once in a while, although as rarely as I could have it, I have to face my fear and do it. The narcissistic part of me kind of wanted to (what a traitor!!)... But still, the rest of me was just too traumatized by all the previous experiences. The end result would, should, be enjoyable, but the process to get there was, and I knew that to the bottom of my being, just too painful.
So there I was, still on the sidewalk, in the late afternoon, after a full day of work, looking blankly at the door, my heart beating too fast, my hands wet and my head getting dizzy...
"Ok, come on! You'll have to do it sooner or later, so might as well do it now!" I scolded myself one last time, trying to summon what little courage I could muster.
So, straightening my back and clenching my teeth, I finally opened the door and walked in...
Once I got in and my eyes had adjusted to the gory lights, I could see the dreadful chairs, the tables with all those creepy instruments, and... them. There were three of them, Machiavellianly chatting, probably about their last victim. I don't know if they're a different species or just heartless sadists convinced they're doing the world a favor torturing innocent people, but I've never quite understood them and yes, they kind of scare me. The three of them immediately turned my way, ingrainedly beckoned by the opening door chant, and as soon as they saw me, you could see the light glowing in their eyes, the sheer eagerness of the predator seeing its next prey. But they must have some telepathic powers because they didn't even need to confer to decide which one of them would have me. In less time than it should have taken, two of them turned back towards each other, resuming their disturbing chatter as the third one kept looking at me, intensely. Slowly grinning into that deceiving half welcoming, half bloodthirsty smile, my supposedly assigned torturer waves a hand coaxing me to take a seat in one of the lower chairs...
Oh, by the way, you need to understand that these chairs are like torturing devices in themselves. When you sit down in those chairs you have to slouch down so that when you lean on the back of the chair (with no lower back support, might I add), your head ends up hanging in midair, supported only by your neck. But the thing is that the edge under your neck is cold and hard so you can't let your neck rest on it without it getting into your skin and so you have to support all your head's weight yourself. Let's just say it's tricky and tiresomely painful. But that cramped position is only the beginning because then, as you've never been so uncomfortably seated, all stiff and aching, there comes the water. First, it comes out freezing cold but gradually gets warmer so at one point you start having some hope, that maybe you might get to relax into it. But as soon as you start letting your guard down, the water gets so hot you wish it would go back to being cold. But as they say, be careful what you wish for. Because then the water just keeps switching between painfully cold and frighteningly hot over and over again, plus constantly threatening to get into your eyes, your ears, your nose. And as they're trying to either drown you or drive you crazy (who knows?!) with the watery torture, they always add this slimy nauseatingly smelly stuff on your head which scent, added to their usually strong and cheap perfume, becomes pure gaging material. But that's not all, that's just the ambiance being put together for the real torture: the nails, long and sharp, scratching and scraping, trying to scalp you. Because, evidently, what better way to get that oozy stuff to "penetrate" if not with their nails!? And, of course, there's nothing you can do. Try to move and it’ll just get worst anyway. So you suffer in silence hoping it'll be over soon.
Although, once it's over, you're still just up for the second part. The only thing is that you need to be in another chair. So they make you walk the walk of cold wet shame all across the place and sit down in front of a big mirror near a table full of sharp and creepy instruments... Clearly, they love to be able to watch you suffer from every angle, otherwise, there wouldn't be that many mirrors. So, as you're seating there, looking at yourself all beaten up and covered in cold sweats, wondering why the hell you opened that door in the first place, they dare ask you with that creepy enthusiasm of theirs:
"So, what will it be?"
As if there's no way you could just don't want to be there. Is a choice really a choice if all the options are equally painful? But, obviously, if you went through all of that first part, it has to be for a reason, right?! So you have to specify which one it is, but that's the tricky part! Because, you see, if you're not clear enough; if they don't really understand what you want or if you ask for the wrong one... Well, let's just say you'll be facing excruciating regrets. So as you're looking at them in the big mirror in front of you, knowing they're waiting not so patiently for your answer, all you try to do is make sense of the mental picture you've been building up in your mind for the past weeks. But even though you've practiced explaining it, knowing that day would come, with your heart beating too fast, armpits sweating and brain getting mushier by the stress and fear of not being clear enough, all you can do is stupidly repeat the only two words you remember from their language and tumbling on all the other words. Hopefully, at some point, they'll stop your rambling declaring that they'd got it, but then a mix of relief and dread just freezes your mouth midword. Because that's it, once they're started, there's no stopping them, no turning back. What if they got it all wrong?!
Then, as if they read your mind, the first thing they want to do is to confirm that, even though they will be doing what they think you asked for, they will still be in charge the whole time. So, putting a gown over your shoulders, they'll simply tie it tight enough around your neck to "gently" choke you, therefore efficiently asserting their dominant position while also making sure no blood would stain your clothes. How convenient. We wouldn't want any visible proof now, would we?
And then, they always end up saying the four words that any nearsighted person would fear the most in an unfamiliar situation:
"Take off your glasses."
Believe me, when you're unable to see anything further than four inches away, you quickly feel defenseless. So helpless, alone in your blurry world. You can't make out what's around you, let alone who's coming at you nor how. But, teeth clenched and hands shaking, you still hand them out your glasses, because you know the alternative would be much worse. You can't just stop now. Not after everything you've already just been through. But once they have your glasses, they always put them on the table, out of your reach, way too far for your comfort or sanity. But by then it's too late to change your mind, they're on a roll. And the real torture can finally start.
The first cut is the worst. It's not supposed to hurt that much yet; it's just one little chop. But I swear you can hear it. The ominous sound of the point of no return; a dreadful chomp defining that decisive moment, the beginning of the end. Whether it's the sound or the sensation, your whole being gets that deep down knowledge that THIS IS IT. Like the ominous sound of the locking click of your prison cell door. Doom.
Then the show is on and there's nothing you can do about it except suffer in silence. Because no, you're not supposed to scream nor even whine. Grown-ups don't cry. So you let them have their fun with you. Repeatedly and mercilessly rattling your scalp like they'd want to shred your skin off your skull. Pulling at your hair like they're trying to rip your head off and nearly tearing your ears off in the process. Constantly switching through unidentifiable devices and always agitating them way too close to your eyes. The pain gets more excruciating every time they use a new instrument. The panic sips through you for not seeing what they're really doing to you, fearing the unknown results. Your breath gets more and more labored from the choking collar and your whole body shivers from the still-wet hair. And all you can do is stare at your hands resting defeated on your lap. They're the only part of your body that you can still more or less see clearly, bringing you what little comfort it could; confirming you're still you, human and alive, despite the distress, pain, and unknownness of the fuzzy veil surrounding you... But every time your head would slightly bend down for looking too closely at your lap, they'll firmly grab it and put it back up, uttering something like:
"Keep your head up straight, or you'll regret it!"
So you can't even have that little comfort. Meanwhile, as you're trying to cope with the fear, the tearing pain, and the helplessness of your situation... They talk. Chatting and rambling about meaningless things (probably their own life); talking like they like to hear their own voice way too much; like they don't even need you to listen... Yeah, they keep mindlessly torturing you, not caring at all about your excruciating suffering, focusing on whatever story they're telling you about, and sadistically enjoying themselves. Some people really have no heart. Or maybe they really think you're enjoying yourself and are interested in their life? How can someone be so clueless?!
Anyway, that's not the worst. Once in a while, they would pause and look in the mirror. Yeah, that's bad. Because, since their reflection is too blurry for you, you can't tell if they're looking at you, waiting for an answer to some vague question you hadn't heard or if they're just admiring their bloody work from this other perspective. So, every time, you kind of froze, your brain going miles a minute trying to figure out what you're supposed to do. Are you supposed to say something? And if you are, what are you supposed to say? What if you say the wrong thing? Personally, just in case, threading on the safe side, I usually opt for a shy lopsided smile, hoping that could mean anything and thus everything they're hoping for. Dare you offend them! Because only God knows how worse this all could get!
After what will have seemed like hours, they'll suddenly stop assailing you and start walking away. A wave of relief will instantly spread through you. Freedom, at last! Your breath will start to slow down and your jaw will try to relax. Your shoulders will most certainly slouch, exhaustion finally taking its toll.
But as you stretch your arm towards the table trying to reach for your glasses, they'll be coming back out of nowhere and stop you:
"Hold on, I'm not finished yet!"
That's when your whole body freezes, petrified, arm still stretched midair, eyes widened in fear, and breath stuck somewhere in your chest. And yet, you know you should have known! Every time, you naively hope that they would skip that last part...
After the freezing/burning and drowning, the blinding and choking, the scratching and pulling, comes, of course, the deafening and sickening. As they start blasting you with that hot air-blowing contraption, they even resume the pulling and scratching. As if you hadn't had enough yet. Soon, the blasted warmth, probably helped by your exhausted state, starts making you feel sick and dizzy. Plus, the screeching high-pitched noise coming from the torture device keeps aggressing your ears and slowly driving you insane. But once you’ve realized that all that roaring deafening noise would definitely cover any scream for help; that hope is now both deaf and dead; that's when you usually, finally, reach the breaking point. The point where your body and mind just give up, where you stop hopefully fighting and start defeatedly shutting off. You’ve crossed the line past which nothing matters anymore; you don't feel the pain nor the fear anymore. You don't feel anything. Almost blissful, really.
After you'll have no idea how long, they'll finally stop, take a step back, look at their chef-d'oeuvre and, with a radiant satisfied smile on their face, claim their victory:
"Done!"
Still dazed and numbed, you won't even care what the results are anymore. Part of you won't even realize that the torture is finally over and that you should get the hell out of there. Hopefully, your subconscious will be smarter and take over. So without really knowing it, you'll put your glasses that they've finally given you back on and stumble off of the chair. Then you'll probably smile for their benefits in the big mirror before mindlessly walking to the cash register. Still not registering what they're saying (probably gloating anyway), you'll get your credit card out. Because, yeah, you actually have to pay for that. Then, once the insult has been added to the injury, your body and mind still numbed from the endless torture, you'll finally walk towards the exit, fixing that door, subconsciously seeking freedom.
The sky is blue, the sun's shining.
People walking, yet here I am,
Still standing there, on the sidewalk
Facing my life, ruling straight out
That pain ain't worth beauty nor greed,
That no haircut I'll ever need.
Janvier 2018
Destin impitoyable
Je sens ses doigts monter sur moi
Son nez renifler autour de mon trou
Ça faisait si longtemps qu'on ne l'avait pas touché
J'avais presque oublié
Je sens sa langue tout autour
Je sens ses dents en tester les rebords
Finalement sa tête pénètre à l'intérieur
Puis ressort aussitôt
Puis encore, sa tête replonge
Allant, cette fois, plus profondément
À chaque entrée-sortie, pénétrant davantage
Puis tout d'un coup, plus rien
Dans ma naïveté, j'espère
Que déjà l'intrus eut abandonné
Un courant d'air frais me confirme son absence
Espérons, pour de bon
D'un coup, les souvenirs reviennent
La dernière fois fut un cauchemar
Les cris, les douleurs, les dommages irréparables
Par pitié, pas encore!
Je sens ses doigts monter sur moi
Avec assurance, entre au complet
Clairement, mes prières furent ignorées
S'en suit le va-et-vient
Incapable de me défendre
Reste immobile, me laisse envahir
Devoir souffrir en silence malgré l'outrage
Malgré la peur, la honte
Au fil des assauts, le temps passe
Abandonnant tout espoir, je m'efface
Les sensations s'estompent, mon âme se vide
Comme mon trou s'emplit
Je reconnais son dévouement
Je peux même admirer son endurance
Dommage que je doive en être la victime
Pourquoi c'est si injuste?
Réalisant son objectif
Un frisson d'horreur me parcourt le corps
Toutes ces semences au fond de mon trou, que faire
Si elles y trouvent vie?
L'idée qu'à l'intérieur de moi
Un autre organisme puisse grandir
Inacceptable, je ne pourrais y survivre
Le début de ma fin
Mes ressources sont limitées
Je ne pourrais fournir une autre vie
Les difformités, la douleur, l'épuisement
Que vais-je devenir?!
L'angoisse se mêle à la rage
Si seulement je n'avais pas eu ce trou
Signe de mon impuissance, honteux passé
Destin impitoyable
Chaque été, ces bêtes sauvages
Cherchent à enfouir leurs graines dans des trous
Même les trous des pauvres arbres sans défense
Ces p’tits criss d’écureuils
Ensemble protégeons les arbres troués des graines d'écureuils!
Juillet 2022
Coronavirus cover song
"Santa Claus is coming to town"
🎶
You better watch out
You better wash hands
You better wear masks
I'm telling you why
Corona is staying in town!
They're making a list
Checking it twice
They'll vaccinate us
As fast as they can
Corona is staying in town!
It knows if you have been too close
Hospitalization
We need you to stay home and safe
Wash your hands for goodness sake! Oh!
You better watch out
You better wash hands
You better wear masks
I'm telling you why
Corona is staying in town!
Let’s close everything
Just stay online
Or get your passport
and your rapid tests
Corona is staying in town!
Hospitals are full
Nurses are dead
Forget your parties
Don’t touch anyone
Corona is staying in town!
It knows if you have been too close
You’ll need all your doses
It knows if you’re not protected
Fix your mask for goodness sake! Oh!
You better watch out
You better wash hands
You better wear masks
I'm telling you why
Corona is staying in town!
🎶
December 2020 and 2021
I found a dog!
Public Disgrace
May 2016
After this hot girl squirted all over me (which had me come as well), he licked my pussy as any slave should do: like he could do it for hours! But it turned me on so much that I came again pretty fast. Then he started cleaning all that juice off my body... with his tongue, of course! Once I was clean, as a good slave, he cleaned up the scene space, picked up my stuff, and heeled as I went off.
Oh, I loved this dog! He was not only pretty but also very obedient and would lick my feet every time I ask him. I loved seeing him licking my feet and enjoying it! I walked him around with his leash as he carried my stuff and showed him off to everyone. I was so proud of my good boy! I played with him, teasing him while he was attached to the pole... and when I had had enough, I sat down and made him massage my feet and legs.
So relaxing!
A slave or a toy? Why not both?!
Public Disgrace
May 2018
As I walk through the crowd, followed by my slave (you, at least, need someone to hold your bottle of water!), I found the sweetest little toy! I must say, [@Mz_Claws](https://fetlife.com/Mz_Claws) has an eye for toys! And she shares!! So when I found her new toy alone, I thought I should try it too!
It had all those ropes tied all around its chest which made it so tempting to just grab them and pull it closer to me! But it still had its hands free, so I asked my slave to tie its hands behind its back. So, once my new toy was all gift wrapped, I pulled on the ropes and made it follow me and my slave upstairs to play.
So as I sit my toy on the couch, I motion my slave to sit by its side. That way I could have easy access to both of them!
I love new toys! You get to do whatever you want and discover all their buttons and the sounds they make! Whether you caress, lick, suck, nail, or bite, they always make noises or have nice bodily reactions!
When I get excited, I like to have a cock in my hand, you know, just to play with, to feel it getting hard and harder... That's mostly what my slave is for, actually. So as I was playing with my new toy, I started massaging my slave's cock... Oh, so much teasing, so much fun!! I love teasing!
At some point, I got really excited but a bit bored with playing with the toy, so I decided I would have them go down on me! So as they were both, of course, eager to please me, I told them they would then have to take turns. So I grabbed my toy's ropes and pulled it down towards my pussy, and it started licking right away (that's a good, well-functioning toy, right there!). Then I stopped it, and motioned my slave to take its place, and of course, it executed itself promptly and oh competently! (good slaves are so efficient!). Then I switched again,.. and again,... until I came intensely and for as long as I let it suck on my clit... God, that was good!
And finally, I could slowly recover and enjoy the post-orgasm glow, as both my feet were being massaged by my slave and my toy. What a perfect ending for this memorable night!
Alie
xox
P.S. That's what I call teamwork: a slave AND a toy!
(H)appiness
Opalace - Chill & Play
July 2023
When I saw it laying there, faking innocence but subtly tempting me, challenging me… I couldn’t help myself. I needed to teach it who’s the Master! Show it how much weight I can throw around!
Now, blindly stomping your feet won’t get you far, everyone knows that. You need to be smart about your footing and heavily think about your steps before putting your foot down.
First, I started by complacently swiping it this way and that with my foot as if it were just a weird squishy toy stuck in the ground, unable to escape… I waited to see how it’ll react, but it kept coming back into place, waiting expectantly, obviously anticipating my next move.
Then I went about massaging it, rhythmically penetrating its flesh with my skillful toes, sensually luring it into submission while I was actually deciphering all its weakest spots.
So as I was pressing here and there, from this and that way, I could feel under my foot the different parts inside trying to relocate themselves around each other, desperately trying to maintain some sense of wholeness while still shamelessly relishing the intense pressure I was putting it under.
Still, you need to be careful when trying to fully stand on it; after all, that thing ain’t flat! There are some curves to it that you need to take into account, otherwise, a bit too much this way or not enough that way and you could easily fall off of it! You wouldn’t want to hurt yourself, now would you?!
Although, I must admit I loved, when I stepped on it wrong, to feel it trying to worm its way out from under my feet; poor little thing, it’s like it doesn’t know what’s good for it! Constantly trying to pin it down for good as it kept wriggling around. A sensual cat-and-mouse kinda chase; except you know and you can actually feel that the mouse really is hoping for you to finally squish it under your heel!
Finally, if you position yourself properly, and apply the right pressure, keeping the angle steady, you can feel and see how happy it gets! Finally kept in its rightful place: squashed under its Master’s feet. That’s when I started dancing and grinding a bit in order to really imprint my victory into it.
Seriously, it’s so much prettier when it’s all flattened, devoided of all its useless brawniness, crushed by the superiority of my boot! Especially since, afterward, you get to see the lines of my sole imprinted on it! Like my signature; it's Master’s autograph. However, the next days do hold a whole new delight as it gets to show off all the nice little blue and purple spots that you’ve so generously bestowed upon all over it! Proudly sharing these pictures is really how (h)appiness thanks you!
You’re welcome.
Alie
xox
Sang, sexe & café (PNDCO*)
*Pas Nécessairement Dans Cet Ordre
Si t'aimes les supernatural romances, mais t'es pu capable des histoires clichés où la petite adolescente vierge et sans défense doit choisir entre le big loup-garous bad boy et le riche vampire controllant et que dès qu'elle a choisit entre les deux jaloux et possessifs mâles, le gagnant l'étampe dans l'mur pour l'embrasser sauvagement pis ils baisent sans en avoir discuté avant et, comme de fait, les deux viennent en même temps et c'est magique et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants...
Ben si tout ça te donne des brûlures d'estomac autant qu'à moi, ben Sang, Sexe & Café va te faire l'effet d'un antiacide au goût de baies sauvages.
Alex, sans-abri misanthrope, réalise son rêve en torturant des vampires afin d’aider 49, lycanthrope aux yeux bleus, à se libérer de l’esclavage... et fini par trouver l’amour.
Tout est inclus : être humain, vampire et lycanthrope; viol, torture et racisme; BDSM, polyamour et câlinothérapie... pis du café.
Qu'est-ce que tu veux d'plus?!
Oh, pis en plus, c'est épicène! Ça veut dire que tu peux choisir toi-même le sexe/genre des personnages!
Ça te laisse perplexe? Essaie de lire la présentation d'Alex, tu vas comprendre...
Présentation d'Alex
Fac comme ça, l’autre t’a parlé de son fameux roman en français/québécois épicène pis même si t’as compris c’que ça veut dire, tu te demandes quand même de quoi aurait l’air un roman écrit de même? En même temps, ça t’tente probablement pas de lire les premiers chapitres pour après avoir à attendre 2-3 ans pour lire la suite… j’te comprends, ça s’rait pas mal agace!
Ok, r’garde ben c’que j’vas faire: j’vas te l’raconter, moi, son roman, ok?
En passant, moi c’est Alex, j’suis l'personnage principal. Quoique, en vrai, c’est plus l’aventure de 49 que ça raconte. Moi j’fais juste l’aider. Qu’est-ce tu veux, j’suis d’même moi; j’aime aider les autres!
En gros, 49 doit torturer et tuer des vampires pour pouvoir se libérer de l’esclavage et arrêter de se faire battre et violer à tout bout d’champ par les autres lycanthropes de sa meute (avoues qu'c'est touchant comme histoire!). 49 est une machine a tuer (fucking hot, d’ailleurs), mais avec un coeur d’or, fac apparemment la torture c’est comme pas trop son genre. Fac c’est là que j’entre en scène et save the day! Tu vois comme on se complète si bien! Mais bon, après qu’on ait torturé 77, y’a 23 qui a voulu venger 77 en me torturant moi. Mais inquiétes-toi pas parce que finalement, 23 (qui est fucking hot aussi en passant) a pas été capable de résister à mon charme (naturellement) et au lieu de me torturer, a fini par me sauter dessus, mais genre, sexuellement (j'le précise parce que j'sais qu'tu peux pas voir ma face pleine de sous-entendus).
En passant, ces personnages-là ont des vrais noms, c’est clair, c’est juste que moi les noms… bref, j’préfère leur donner des numéros, ça fait plus de sens dans ma tête. Si jamais tu lis le roman, tu vas comprendre c'que mes numéros veulent dire (et avec un peu de chance tu vas probablement aussi finir par apprendre leurs vrais noms).
Anyway, qui est-ce qu'Alex va choisir: 49, lycanthrope, ou 23, vampire? Est-ce que 49 va réussir à se libérer? De quel côté est 23? Est-ce que 77 va finir par se venger soi-même? Est-ce que 27 est plus sexy à poils ou en sous-vêtements? Nah, la vraie question, c'est est-ce qu'on va finalement finir par m'laisser dormir!?
P.S. est-ce que dans ta tête on est toutes des filles, tous des gars, ou un mixte des deux (Queer pun intended)? Parce que, sérieux, tu peux choisir nos genre toi-même; c'est ça la beauté de l'épicène!
I'm still working on that one.
Come back in two years!
But if you really really want to read what I've written so far, you can click down below and read the first chapters. 👇
Sang, sexe & café (PNDCO)But be warmed: you then won't ever be able to come back from that... ever again.
Texts I've read and loved
Les Fables de Jean de La Fontaine
La Cigale et la Fourmi
La Cigale, ayant chanté
Tout l'été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue :
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu'à la saison nouvelle.
« Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'Oût, foi d'animal,
Intérêt et principal. »
La Fourmi n'est pas prêteuse :
C'est là son moindre défaut.
« Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
— Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
— Vous chantiez ? J’en suis fort aise.
Eh bien ! Dansez maintenant. »
Le Renard et la Cigogne
Compère le Renard se mit un jour en frais,
et retint à dîner commère la Cigogne.
Le régal fut petit, et sans beaucoup d'apprêts ;
Le galand pour toute besogne
Avait un brouet clair (il vivait chichement).
Ce brouet fut par lui servi sur une assiette :
La Cigogne au long bec n'en put attraper miette ;
Et le drôle eut lapé le tout en un moment.
Pour se venger de cette tromperie,
À quelque temps de là, la Cigogne le prie.
Volontiers, lui dit-il, car avec mes amis
Je ne fais point cérémonie.
À l'heure dite il courut au logis
De la Cigogne son hôtesse,
Loua très fort la politesse,
Trouva le dîner cuit à point.
Bon appétit surtout ; Renards n'en manquent point.
Il se réjouissait à l'odeur de la viande
Mise en menus morceaux, et qu'il croyait friande.
On servit, pour l'embarrasser,
En un vase à long col et d'étroite embouchure
Le bec de la Cigogne y pouvait bien passer,
Mais le museau du Sire était d'autre mesure.
Il lui fallut à jeun retourner au logis,
Honteux comme un Renard qu'une Poule aurait pris,
Serrant la queue, et portant bas l'oreille.
Trompeurs, c'est pour vous que j'écris :
Attendez-vous à la pareille.
La Chauve-souris et les Deux Belettes
Une chauve-souris donna tête baissée
Dans un nid de Belette ; et sitôt qu’elle y fut,
L’autre, envers les souris de longtemps courroucée,
Pour la dévorer accourut.
« Quoi ! vous osez, dit-elle, à mes yeux vous produire,
Après que votre race a tâché de me nuire !
N’êtes-vous pas souris ? Parlez sans fiction.
Oui, vous l’êtes, ou bien je ne suis pas Belette.
— Pardonnez-moi, dit la pauvrette,
Ce n’est pas ma profession.
Moi, Souris ! Des méchants vous ont dit ces nouvelles.
Grâce à l’Auteur de l’Univers,
Je suis oiseau ; voyez mes ailes :
Vive la gent qui fend les airs ! »
Sa raison plut, et sembla bonne,
Elle fait si bien qu’on lui donne
Liberté de se retirer.
Deux jours après, notre étourdie
Aveuglement va se fourrer
Chez une autre Belette aux Oiseaux ennemie.
La voilà derechef en danger de sa vie.
La Dame du logis avec un long museau
S’en allait la croquer en qualité d’oiseau,
Quand elle protesta qu’on lui faisait outrage :
« Moi, pour telle passer ? Vous n’y regardez pas.
Qui fait l’oiseau ? c’est le plumage.
Je suis Souris : vivent les Rats !
Jupiter confonde les Chats ! »
Par cette adroite répartie
Elle sauva deux fois sa vie.
Plusieurs se sont trouvés qui d’écharpes changeants,
Aux dangers, ainsi qu’elle, ont souvent fait la figue.
Le Sage dit, selon les gens :
« Vive le roi ! Vive la Ligue !
Relax, I'm still working on it!
Feelings
I feel like killing something
Let's think positive
People, not a fan
I just wanna die
Life, whatever
Subjects
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Click on a category and see what happens.
(Be careful what
you wish for!)
Come on, touch it
and see what else I've got for you! 👆
Wanna cook your own shit recipe?
First, choose your ingredients :
Then, let's start cooking!
Add your own shit to the pile
Here are the rules:
Whenever you want to masturbate...
- You must think only of your Master's body or of your Master being with someone else. So that you'll get turned on just by seeing your Master.
- You must, at all times, have your Master's cock whether in your hand, jacking it; in your mouth, blowing it; or in your pussy, getting fucked by it. So that you associate pleasure with a real and worthy cock like your Master's and realize that pleasuring your Master is so much better than pleasuring yourself.
- You must get as close as possible to orgasm, but without orgasming. You can only orgasm if you have your Master's permission and only after saying please three times out loud and hearing (in your head) your Master saying "come". Then, and only then can you come. Otherwise hold it in! So that you realize that your orgasms only belong to your Master and your Master's pleasure is the only happy ending you really need.
- If you got the chance and honor to come thanks to your Master, then you must say "Thank you Master" out loud. So that you realize how lucky you are and how generous your Master can be when you deserve it. If you came without your Master's permission, you must say "I am sorry, Master, please forgive me" out loud.
- After you've thanked your Master for these wonderful sensations (or hoped for forgiveness), you get to savour the other gift that your Master procured for you; that's right, all that creamy goodness is your gift from your generous Master, lick it all, savor it and don't you miss a precious drop! I want you to associate the taste of cum with the greatest pleasures and sense of accomplishment so that you'll crave it, whether it's yours or not.
Master's toy's training
Your Toy Points
0
Are you sure you wanna go back home, before finishing up?
If you do, all your answers will be erased...
Here are the goals:
One day, you'll My perfect toy and...
- You'll get aroused just by thinking about Me, My body, My cock or Me being with someone else...
- You'll be able to pleasure My cock (or any of the real and worthy cocks that I might present to you) any way possible, whether it is with your hands, your mouth or your pussy.
- You'll give Me the control over your orgasms because you'll feel deep down that the only pleasure you really need is My pleasure.
- You'll then be able to come if and only if I've given you permission to. You'll know how to ask for permission to come, meaning saying "Please, Master" at least 3 times and to wait for my command "Come" before orgasming.
- You'll also remember to thank Me and be immensely grateful for Me letting you come.
- If you ever come without My permission, you'll know to quickly ask for My forgiveness.
- You'll crave the taste and the chance to eat cum, whether it's yours or not, knowing it's one the greatest gift I can give you.
First part of your training
Whenever you want to masturbate...
- You must think only of your Master's body or of your Master being with someone else. So that you'll get turned on just by seeing your Master.
- You must, at all times, have your Master's cock whether in your hand, jacking it; in your mouth, blowing it; or in your pussy, getting fucked by it. So that you associate pleasure with a real and worthy cock like your Master's and realize that pleasuring your Master is so much better than pleasuring yourself.
Second part of your training
Whenever you want to masturbate...
- You must think only of your Master's body or of your Master being with someone else. So that you'll get turned on just by seeing your Master.
- You must, at all times, have your Master's cock whether in your hand, jacking it; in your mouth, blowing it; or in your pussy, getting fucked by it. So that you associate pleasure with a real and worthy cock like your Master's and realize that pleasuring your Master is so much better than pleasuring yourself.
- When you feel you are close to orgasming, you must say "Please Master" out loud, at least three time, then, right before you come, hear (in your head) your Master saying "come". Then, you can come.
- Once you came, gratefully say "Thank you Master" out loud and realize how lucky you are and how generous your Master can be when you deserve it.
- After you've thanked your Master for these wonderful sensations, you get to savour the other gift that your Master procured for you; that's right, all that creamy goodness is your gift from your generous Master, lick it all, savor it and don't you miss a precious drop! Remember all the pleasure and the sense of accomplishment that this delicious treat represents.
Here are the rules:
Whenever you want to masturbate...
- You must think only of your Master's body or of your Master being with someone else. So that you'll get turned on just by seeing your Master.
- You must, at all times, have your Master's cock whether in your hand, jacking it; in your mouth, blowing it; or in your pussy, getting fucked by it. So that you associate pleasure with a real and worthy cock like your Master's and realize that pleasuring your Master is so much better than pleasuring yourself.
- You must get as close as possible to orgasm, but without orgasming. You can only orgasm if you have your Master's permission and only after saying please three times out loud and hearing (in your head) your Master saying "come". Then, and only then can you come. Otherwise hold it in! So that you realize that your orgasms only belong to your Master and your Master's pleasure is the only happy ending you really need.
- If you got the chance and honor to come thanks to your Master, then you must say "Thank you Master" out loud. So that you realize how lucky you are and how generous your Master can be when you deserve it. If you came without your Master's permission, you must say "I am sorry, Master, please forgive me" out loud.
- After you've thanked your Master for these wonderful sensations (or hoped for forgiveness), you get to savour the other gift that your Master procured for you; that's right, all that creamy goodness is your gift from your generous Master, lick it all, savor it and don't you miss a precious drop! I want you to associate the taste of cum with the greatest pleasures and sense of accomplishment so that you'll crave it, whether it's yours or not.
Date:
Have you played with yourself? ____ ( __ Toy Points)
Have you thought about Me? ____ ( __ Toy Points)
Have you pleasure My cock? ____ ( __ Toy Points)
Have you dealt properly with your orgasm? ____ ( __ Toy Points)